"The manager", un court métrage sur l'intimidation et la responsabilité des adultes

Aujourd'hui est célébré le Journée internationale contre le harcèlement, également connue sous le nom de "Journée contre le" harcèlement ", dans le but de sensibiliser le public à ce problème qui touche des millions d’écoliers dans le monde. Aujourd'hui nous vous apportons un excellent court métrage sur l'intimidation intitulé "The Manager", qui nous fait réfléchir sur la responsabilité qui incombe aux adultes, et en particulier les enseignants, nous sommes confrontés à ce harcèlement.

Et, face à l'injustice ou aux abus de pouvoir que subissent les écoliers dans la classe, l'intimidateur n'est pas seulement responsable, comme nous l'avons vu lors d'une campagne récente. Les témoins muets de situations de violence, ainsi que ceux qui ne prennent pas les mesures nécessaires pour détecter le harcèlement, ont également leur part de responsabilité.

Rappelez-vous que l'intimidation peut s'accentuer avec le temps et provoquer une dépression qui peut l'amener à ne pas assister aux cours, à quitter l'école ou même, dans les cas les plus graves, à s'isoler et à tenter de se suicider. C'est pourquoi il est important de ne pas se taire devant ce type de violence et d'être attentif aux signes permettant de détecter si un enfant est victime d'intimidation.

"Le manager" est un court métrage de Sergio Barrejón, avec son scénario et celui de Nacho Vigalondo, produit en 2009 et nominé pour le prix Goya. Il a reçu plus de 20 prix dans des festivals du monde entier. Bien que le cours qu’il donne (avec des enfants de huit à dix ans) me semble tout à fait irréel, comme à une autre époque (la manière dont ils sont assis, comment ils sont expliqués, leur silence, le fait de les laisser seuls ...) oui, nous pouvons reconnaître "l'intimidateur" et ses complices, ainsi que les personnes harcelées, dans une situation malheureusement actuelle.

En résumé, l’enfant en charge du ciblage qui se comporte mal lorsque l’enseignant n’est pas courageux a fait face au harceleur, même à ses complices. Mais ces instincts qu’il a montrés ne seront pas récompensés, car lors du retour de l’enseignant, il ignore ce qu’il a signalé au tableau: l’enfant qui s’est mal conduit et qui est censé se rendre directement au bureau du directeur, l’enfant Il a lancé des balles et l'a insulté, lui et sa famille, en le menaçant.

Avec ce fait, le tyran finit par voir sa performance renforcée et, avec une fin assez troublante, nous craignons que ce ne soit pas la dernière fois qu'il harcèle l'autre enfant, même la violence à son encontre va probablement augmenter. L'ignorance de l'enseignant et le fait de ne pas avoir tenu parole (l'enfant a cru en lui!) Seront les coupables.

On vous laisse avec ça bref pour la réflexion sur la Journée internationale contre le harcèlement. Un problème auquel nous devons tous prêter attention et ne pas négliger dans les salles de classe, dans les cours de récréation, dans les parcs ... Attendre les signaux de nos étudiants et leur montrer notre proximité, notre écoute active, notre observation, notre intérêt, notre soutien et notre confiance, quelque chose qui brille par son absence dans ce professeur de fiction.