Ce qui est fait par les enfants du monde est-il suffisant?

Il y a des opinions pour tous les goûts, même si l'opinion qui pèse le plus est celle de ne pas en faire assez pour les enfants de la planète, en particulier pour ceux qui vivent dans des pays sous-développés et qui doivent faire face à des conditions de vie vraiment déplorables.

Les ONG et d’autres agences sont d’accord pour dire que beaucoup plus pourrait être fait pour les enfants et cela se traduit en fait par un rapport préparé par l’UNICEF lui-même. Ces derniers mois, nous avons eu connaissance d'informations qui montrent que des progrès ont été accomplis dans la mesure du possible pour atteindre les objectifs du Millénaire, mais l'approche est assez compliquée. La réduction de la faim, des maladies ou de la mortalité infantile est de plus en plus difficile. Le développement des biocarburants, par exemple, est un obstacle majeur qui peut éliminer les réserves mondiales de blé à partir desquelles les pays sous-développés sont approvisionnés. La faim chez les enfants peut augmenter. En fait, les experts mettent en garde sur cette nouvelle situation. Jean Ziegler, rapporteur spécial de l'ONU pour le droit à l'alimentation, a demandé un moratoire sur le développement des biocarburants et la situation est assez évidente.

D'autre part, nous constatons le changement climatique, certains de ses effets: augmentation du nombre de maladies, rareté de l'eau, etc. Il ne fait aucun doute que si les mesures adoptées pour améliorer la situation des enfants étaient quelque peu rares, les nouveaux problèmes ne seront que très insuffisants. Il est nécessaire de changer certaines approches, l’avenir de l’enfance, en particulier celui du tiers monde, en dépend.

L'optimisme initial qui a été démontré avec la réduction de la mortalité infantile, nous en reparlerons dans un post. Il réduit la mortalité infantile dans le monde, il peut être une nouvelle à échapper à retenir des années successives. Notre réponse pour le moment est que cela ne suffit pas pour les enfants et que, face à des attentes nouvelles et problématiques, les implications doivent être beaucoup plus fortes.